Le cholestérol… C’est la vie !
Source : https://www.youtube.com/watch?v=80xDCeLztGQ
Article : Cholesterol Le grand bluff
Date de parution : 23.06.2017
Niveau de difficulté : Facile
Quand la médecine fait peu de cas de la science !
N’importe quel biochimiste vous le dira, le cholestérol produit par la nature ne peut pas être « mauvais » puisqu’il est l’élément indispensable à l’évolution et à l’explosion de la vie sur Terre depuis l’apparition de l’oxygène et l’avènement des cellules eucaryotes dont nous sommes issus.
Pas de cholestérol, pas de vie sur Terre en présence de ce poison qui nous brûle à petit feu, l’oxygène (dioxygène). Le cholestérol est antioxydant.
Que nous dit la science ? Que le cholestérol est source de vie.
Que nous dit la médecine ? Que le cholestérol tue !
La vie a donc évolué ainsi, grâce au cholestérol qui compose 30% de la structure cellulaire ; les 70% restants étant des phospholipides, donc des graisses.
Que nous dit la science ? Que les graisses sont la base de la vie cellulaire, car elles assurent l’existence même des cellules, la solidité suffisante pour que puissent s’implanter à leur surface les récepteurs hormonaux (mais aussi ceux prévus pour les médiateurs chimiques et autres enzymes) nécessaires à la communication intercellulaire. Que les graisses assurent également l’« imperméabilité », ou plus exactement la juste perméabilité, qui permet la vie dans un monde aqueux, et le bon fonctionnement de tous les organites intracellulaires.
Que nous dit la médecine ? Que les graisses sont à éviter !
Il n’y a pas de mauvais cholestérol quel que soit son taux ! Mais la médecine a réussi à faire du cholestérol un ennemi public, un tueur sans pitié, un élément dont il faut se méfier, qu’il faut surveiller et surtout ne pas absorber, si ce n’est en très faible quantité. La médecine a fait que chaque citoyen perçoive le cholestérol comme un danger.
La vie animale sur Terre a donc foisonné d’une manière extraordinaire grâce au cholestérol, et a évolué à son rythme durant 2,5 milliards d’années, jusqu’à ce que l’homme médecin, influencé par l’homme chimiste, lui déclare la guerre.
Petit rappel : l’indispensable et très nourrissant cholestérol est transporté de notre foie jusqu’à nos cellules affamées par des transporteurs appelés LDL. Les LDL prennent donc en charge le cholestérol, mais aussi d’autres graisses, ainsi que les vitamines A, D, E, et K, sans lesquelles aucune réaction métabolique ne peut se produire convenablement et qui nous sont apportées par les aliments…gras (!) que nous consommons ; vitamines métabolisables qu’en présence de graisses, de surcroît.
Que nous dit la science ? Qu’en plus du foie, nos cellules savent également produire du cholestérol. Que l’organisme élabore lui-même au bas mot 70% de ses besoins, que les apports alimentaires n’excèdent jamais 30% de ces besoins, et que l’alimentation ne peut en aucun cas subvenir à nos besoins vitaux (c’est d’ailleurs la raison pour laquelle notre foie fabrique du cholestérol).
Que nous dit la médecine ? Qu’il ne faut pas consommer plus de deux œufs par semaine, peu de beurre et de fromage, très peu de viande, et surtout, que le LDL est un « mauvais cholestérol » !
La médecine a fait de ses croyances idiotes (dans le domaine de la nutrition) des dogmes absolus en quelques décennies !
Au début du XXème siècle de nombreux médecins faisaient carrière sans avoir vu une seule attaque cardiaque.
Aujourd’hui, les maladies cardiovasculaires ne font qu’augmenter et sont la première cause de mortalité dans le monde.
Que nous dit la science ? Que les personnes âgées ayant un cholestérol bas ont une espérance de vie inférieure à celles qui ont un cholestérol élevé. Que le cerveau consomme pour ses propres besoins 25% de l’ensemble du cholestérol, et qu’un taux bas en ce précieux élément expose à la démence, la violence, la perte de mémoire et les maladies neurodégénératives telles Parkinson et Alzheimer.
Que nous dit la médecine ? Que plus les LDL sont bas, mieux on se porte !
Je décide donc de me référer à la science pour conclure ce petit exposé, car seule la biochimie et les experts en lipides voient la réalité moléculaire avec leurs analyses strictes et leurs puissants microscopes.
La médecine, elle, se réfère trop souvent aux études dirigées sciemment par les puissances industrielles agroalimentaires et pharmaceutiques. Il faudra bien qu’un jour elle s’en explique !
2,5 milliards années d’évolution à base de cholestérol, disais-je plus haut, jusqu’à ce que récemment l’homme se mette à consommer une alimentation non prévue par la nature : des sucres en quantité anormale : glucose et fructose, et des huiles végétales jusqu’alors inconnues et qui se révèlent être de véritables bombes oxydatives. Les Bonnies and Clyde de la nutrition ont été créés de la main de l’homme pour son plus grand malheur : sucres et graisses oxydées.
Explication :
Les sucres caramélisent littéralement les cellules et les récepteurs de communications à leur surface, un processus qui empêche le cholestérol, les autres graisses et vitamines d’être reconnus et livrés à destination par les transporteurs LDL.
De plus, les sucres détériorent les LDL eux-mêmes au point de les rendre méconnaissables par les récepteurs ( encore) non caramélisés des cellules. Sans identification, pas de livraison.
Dans ces conditions, les cellules restent affamées, et continuent de réclamer du cholestérol que va devoir fabriquer le foie et qui ne sera à nouveau pas ou trop peu livré. Un cercle vicieux s’installe.
Les huiles végétales sont inévitablement porteuses d’acides gras mutants oxydés qui vont brûler les parois des vaisseaux sanguins jusqu’à leur donner un aspect de matière plastique parfaitement visible à l’œil nu lors des autopsies.
Les acides gras oxydés, véritables zombies contaminants, finissent en raison de leur nombre et leurs attaques incessantes par oxyder le cholestérol lui-même et déborder tous les systèmes de défense que l’organisme avait élaborés jusque-là contre l’oxydation. Le cholestérol devient oxydé et peut être, à cette condition, nommé « mauvais cholestérol » car inutilisable.
Les sucres et les huiles végétales, Bonnie and Clyde, parce qu’ils oeuvrent ensemble, sont des tueurs en puissance. Ils détériorent les LDL et leur contenu d’une manière telle qu’ils sont perçus par nos défenses immunitaires comme des ennemis à éliminer et vont s’agglutiner sur eux là où ils finissent, à force d’errer sans but dans la circulation sanguine, par se déposer, c’est-à-dire sur la paroi interne des artères déjà irritées et inflammées par la présence des deux bandits.
Que nous dit la science ? Que le LDL n’est pas un « mauvais cholestérol ». Que le LDL ne peut devenir délétère que s’il est attaqué à outrance par les sucres et les acides gras oxydés ; chose impossible dans la nature, sauf dans cette condition créée nouvellement par l’homme (que je considère être « hors nature »).
Que c’est cette condition qui accélère grandement le processus d’athérosclérose, et en aucun cas le cholestérol lui-même.
Bref, la science met en évidence la grande dangerosité de Bonnie and Clyde.
Que nous dit la médecine ? Qu’il faut consommer des sucres (jusqu’à 60% de notre apport calorique !) et des huiles végétales (forcément oxydées).
Bref, La médecine nous recommande de consommer Bonnie and Clyde à chaque repas !
Ce que je me suis permis d’appeler Bonnie and Clyde, car c’est une association de malfaiteurs que l’on trouve absolument partout dans l’alimentation moderne, représente une véritable catastrophe métabolique que ne reconnaît pas la médecine aveuglée par la poudre aux yeux que lui envoient en masse les lobbies industriels.
Lorsque l’on consomme du pain, des pâtes, du riz, des biscuits, des pommes de terre, des fruits, du miel, des smoothies, des sodas, c’est du glucose et du fructose qui se retrouvent dans la circulation sanguine et qui « caramélisent » très facilement les cellules.
Oubliez donc l’Indice Glycémique des aliments, les sucres consommés arrivent toujours dans le sang, et plus vite qu’on ne le pense en raison de notre flore intestinale bien rodée à la digestion des féculents.
Les sportifs se retrouvent avec des tendons douloureux et des tissus conjonctifs « stressés », caramélisés, durcis, endommagés, par les sucres qu’ils consomment en grande quantité, et non pas par l’activité physique elle-même !
Il convient de gérer sévèrement les quantités de sucres !
Lorsque l’on consomme des huiles végétales (colza, tournesol, maïs), des acides gras mutants envahissent les systèmes métaboliques, les détériorent par oxydation, et se multiplient au sein de l’organisme jusqu’à pouvoir agresser l’ADN. Nous savons tous ce qu’il advient lorsque l’ADN mute en raison d’attaque oxydative : le risque de maladies augmente, les cancers y compris.
Pour les huiles végétales c’est tolérance zéro !
Conservez l’huile d’olive très peu oxydable et qui reste bénéfique.
Pour la mayonnaise, l’huile d’arachide reste une valeur sûre.
J’aimerais que la médecine n’attribue pas de nom erroné et ne fasse pas peur avec ce qui n’a pas lieu de faire peur.
Il n’y a pas de mauvais cholestérol, il y a un cholestérol sain qui peut être dans certaines conditions détérioré, oxydé ; et des LDL déformés, abîmés par les mêmes conditions.
Merci la science !